Avant la crise du Covid-19, beaucoup de dirigeants pensaient que les solutions de Co-working étaient réservées aux Start-up ou aux métiers du consulting. Même si le prix des « Bureaux » pour une entreprise représente le 2ème poste de charge après les salaires, les entreprises dites « corporate » ne pensaient pas pouvoir réduire ce type de charges. Or, depuis le Covid, tous ont réalisé que la qualité et la quantité du travail ne dépendaient pas du lieu, mais bien :
– de la performance des équipements,
– du confort d’installation des collaborateurs,
– et de l’émulsion que provoque le travail en commun.

Les confinements successifs ont également permis de comprendre que ces coûts fixes pouvaient être adaptés, voire réduits, pour tous les types d’entreprises, quelle que soit leur taille. Jusqu’à présent, les espaces flexibles de travail, nommés « Co-working » en langage commun, étaient réputés pour leur convivialité, parfois, au détriment de la concentration et de l’efficacité.

Des espaces de travail adaptables, flexibles et moins coûteux que les baux conventionnels

Aujourd’hui, les solutions d’espaces de travail adaptables, flexibles et moins coûteuses que les baux conventionnels (de -7% à -15% à Paris – source Colliers International), offrent des solutions premium pour les entreprises dites « corporate ». Qualité des lieux, technologie aux plus hauts standards internationaux, environnement calme et serein, les solutions flexibles de bureaux privés, bureaux partagés ou encore co-working s’adaptent totalement aux besoins des multinationales.

Toutefois, si depuis cette crise sanitaire, le télétravail est également pris en compte comme une politique de motivation, la question des équipements, de la sécurité, et de l’ambiance appropriés au travail quotidien demeure. D’après l’étude « Instant Reethinking workspaces » dès 2019, 69% des milléniales étaient déjà prêts à sacrifier certains avantages pour un meilleur espace de travail. Selon l’étude de Citrix, “The Born Digital Effect“, datant de mai 2021, les employés “digital native” auraient tendance à préférer le télétravail, ou un environnement de travail hybride avec une majorité de télétravail.
Cette étude, particulièrement instructive pour les dirigeants actuels qui souhaitent préparer l’avenir, présente des informations recueillies auprès de 1 000 chefs d’entreprise et 2 000 collaborateurs, dans 10 pays (France, Allemagne, Pays-Bas, Royaume-Uni, Mexique, Etats-Unis, Emirats arabes unis, Chine, Inde et Japon). L’étude se concentre surtout sur des employés de la finance, de la santé et des secteurs industriels. Sur les 2 000 personnes interrogées, 750 appartiennent à la génération Z (nées après 1997), et 1 250 sont des “Millennials” (nés après 1981). Le modèle économique présenté par l’enquête prévoit que les membres de ces deux générations, les fameux « C-Suites » de demain, « généreront 1,5 billions de dollars de bénéfices supplémentaires pour les entreprises ».

Carrière stable, emploi sécurisé et équilibre Vie pro/vie personnelle

L’enquête indique que 87 % des personnes interrogées se concentrent principalement sur la stabilité de leur carrière, la sécurité de l’emploi et un équilibre sain entre vie professionnelle et vie privée. Ces réponses contrastent fortement avec celles des chefs d’entreprise, dont la majorité pense que leurs jeunes employés sont surtout intéressés par la technologie et les possibilités de formation sur le lieu de travail. Et près de 60 % d’entre eux pensent que les jeunes travailleurs veulent passer « la plupart ou la totalité » du temps au bureau.
Toujours selon l’enquête, 90 % des interrogés ne voient aucun intérêt à retourner travailler sur leur lieu de travail à temps plein, une fois la pandémie de Covid-19 terminée. Plus de la moitié préfère un modèle de travail hybride dans lequel il est possible de télétravailler la plupart du temps, voire tout le temps, tandis que 18 % optent pour le modèle hybride avec une présence majoritaire au bureau. Un peu plus de 20 % votent pour une répartition équitable du temps entre télétravail et présentiel. Seuls 10 % souhaitent travailler à plein temps en présentiel.

Choisir un lieu pour travailler près de son domicile, ou de son hôtel, propice à la concentration et à l’efficacité est aujourd’hui possible pour une PME et pour toutes les grandes entreprises corporates. Avec l’accélération des grandes mutations de la société, les aspirations professionnelles des collaborateurs évoluent. Plus de liberté et d’épanouissement pour les plus jeunes, quand d’autres générations souhaitent garder des repères sociaux statutaires. Sans oublier la conscience grandissante de l’impact écologique des individus et des entreprises. Un nouveau critère à prendre en compte pour les entreprises qui complexifie davantage leurs politiques de recrutement.

Penser de nouveaux espaces de travail, adaptés à des journées déstructurées

Comment répondre aux mutations des modes de travail, proposer une plus grande souplesse tout en favorisant la productivité, et attirer les talents de demain ? Il faut désormais envisager de nouveaux espaces de travail, adaptés à des journées déstructurées, ou chaque personne réalise plusieurs tâches, voyage, réfléchit, échange et partage.
– Des espaces non seulement flexibles, mais où les collaborateurs se sentiront choyés.
– Des espaces où la sécurité des personnes et des données est garantie.
– Des espaces où les équipements respectent la santé, la confidentialité, l’environnement, mais aussi le bien-être.

Le “co-working pour les professionnels” signifie dans notre définition :
– des bureaux et des salles de réunion à l’acoustique de 42db
– un Internet standard et redondant
– un contrôle d’accès certifié PKI (identique à OTAN, EU, UN)
– un design haut de gamme en matériaux naturels pour assurer le bien-être des clients mais aussi des collaborateurs sur place
– des lieux inspirants, mais parfaitement adaptés à l’efficacité du travail de chacun, sans distractions inutiles.
Une nouvelle façon de choisir les espaces de travail, qui ne repose plus sur un logo fixé sur un bâtiment, mais qui reconnaît la « valeur » humaine ,comme une ressource à privilégier.