Snober le millésime de votre date de naissance

L’âge n’est vraiment qu’un chiffre et le gagnant ne laisse pas son âge définir ce qu’il est ni ce qu’il peut faire. Régulièrement vous rencontrerez des personnes se sentant obligées de vous dire ce que vous devez ou ne devez pas faire en raison de votre âge. Junior ou senior, arrêtez de les  écouter, votre succès n’est pas lié à leur opinion, mais à votre envie de réussir, à votre esprit de gagnant et surtout pas à au millésime de votre date de naissance.

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Négliger ce que pensent et disent les autres

Si votre plaisir découle de la comparaison de ce que vous êtes et faites avec les autres, vous perdez la maîtrise de votre destin professionnel. Vous pouvez écouter les réactions et opinions des autres,  leurs avis peuvent vous aider, mais vous devez les considérer avec précaution. A priori, peu importe ce qu’ils pensent ou font, votre estime de soi vient de vous, de votre force intérieure. Vous préoccuper de ce qu’ils estiment bien ou pas bien sur vous vous fait perdre du temps et mine votre énergie. Votre fierté de réussir tient à votre confiance en vous,  pas à l’opinion d’un autre, à plus forte raison si c’est un collègue, un homologue, voire un compétiteur ou encore un concurrent.

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Ecarter les personnes toxiques

Celui qui réussit possède une capacité naturelle à bien s’entourer. Il attire les talents et les qualités humaines et repousse les toxiques. Quelle que soit sa forme de négativité, le nocif vous apporte stress et conflit qu’il vaut mieux éviter. Si vous n’êtes pas satisfait de votre situation, regardez votre entourage et les différentes personnes que vous côtoyez dans votre activité, le plus souvent, vous y trouverez la raison de votre malaise : des nocifs plus ou moins avoués qui polluent votre ambiance et votre dynamisme.

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Accepter votre peur et la dominer

La peur est une émotion le plus souvent alimentée par votre imagination, qui dépend souvent de votre choix, car elle vous renvoie à votre histoire personnelle ou à une expérience vécue que vous projetez plus ou moins consciemment dans la vie professionnelle. C’est la peur du jugement social (réunion, séminaire, entretien), celle d’échouer et la crainte de l’incertitude de l’avenir. Celui qui réussit le sait bien, mais d’une manière défensive il sait maîtriser ses chimères qui pénalisent toute action. Vous devez accepter d’avoir peur et ne pas vous en culpabiliser, au contraire servez-vous en comme carburant pour mobiliser votre énergie ou doper votre imagination pour trouver des solutions. Banalisez-la sans la nier, car la refouler ne fait que la renforcer. Informez-vous au maximum sur ce qui vous fait peur, cherchez son origine, comprenez-la, cela confortera  votre confiance, votre sentiment d’être à la hauteur et d’avoir la force nécessaire pour affronter l’adversité.

Eliminer toute négativité de votre entourage

Les affaires ne vont pas toujours comme vous le souhaitez, le plus simple serait de vous résigner et de vous en plaindre. Le vainqueur réfléchit, cherche la meilleure solution possible et affronte la situation.  Si la négativité émane d’un tiers de votre entourage, évitez-le en régulant vos relations avec lui ou carrément en vous en éloignant. Celui qui se plaint répand le défaitisme, demandez-lui comment il pense résoudre le problème dont il se plaint avec tant de talent. Cela suffit souvent à calmer ses geignements et à l’orienter vers un sujet plus positif.

Neutraliser le passé et l’avenir

Le passé comme l’avenir sont des produits de votre esprit, vous ne pouvez rien changer aux événements passés et votre peur ne peut façonner l’avenir. Le gagnant se concentre sur le moment présent, vous ne pouvez être efficace dans le présent si votre esprit se noie dans le passé ou reste paralysé par un avenir qui n’existe pas encore. Pour embrasser la réalité, qu’elle vous soit favorable ou hostile, restez dans le présent.

Se concentrer sur ce que vous pouvez contrôler

Les nouvelles sont mauvaises, la conjoncture erratique, les clients frileux, les dépôts de bilan plus fréquents… Les médias charrient les mauvaises nouvelles qui démoralisent.  Celui qui réussit ne s’en inquiète pas et se concentre sur ce qui est en son pouvoir, sur les situations qu’il peut contrôler. Il priorise spontanément les événements qui lui sont favorables, ceux qui témoignent d’une bonne marche des affaires ou de la résolution d’un problème ou d’une crise.